jeudi 10 novembre 2016

LA FRATERNITÉ DE LUMIÈRE : ORGANISATION DIVINE DE LA PLANÈTE
La fraternité blanche universelle
Le circuit historique de la transmission de la tradition ésotérique occidentale a été abordé dans le chapitre 1er de la première partie de cet ouvrage. Nous avons vu que pour préserver la connaissance héritée du passé, des mouvements philosophiques ou des ordres initiatiques, à caractère secret, se sont formés au cours du temps. avant de tenter quelques explications sur la fraternité de lumière dirigeant notre planète, nous allons considérer l’appartenance d’un chercheur, d’un étudiant de l’occultisme, à tel mouvement ou tel ordre.
1-         LES MOUVEMENTS PHILOSOPHIQUES
ET LES ORDRES INITIATIQUES TRADITIONNELS
Ces mouvements et ordres- appelés également « branchés » sur la source lumineuse de notre planète. ils ont été crées, au cours du temps , sous l’inspiration de ce centre adeptes ont été les émissaires et les instigateurs. Songeons, à titre d’exemple, à l’école sicilienne de Crotone , fondée vers 529 av . J-C. par le grand Pythagore, ce maitre à penser, souvent méconnu, de l’occident…
Ils perpétuent, de nos jours , différents aspects de la tradition ésotérique occidentale . si l’initiation qu’ils proposent est toujours une représentation symbolique de la véritable initiation, conférée sur des plans subtils par la grande loge blanche, de leur sein surgira , cependant, à temps voulu, la réinstauration des mystères , écoles de sagesse futures ; celles-ci, dirigées par des adeptes et initiés appartenant à la fraternité de lumière planétaire, transmettront alors, de façon concrète- et non plus sur les plans subtils- l’initiation authentique .
A-        Leur orientation particulière
Ils diffusaient tous (et le font encore) , au plan théorique, les fondements de la tradition hermétique , mais chacun sous couvert d’un symbolisme plus ou moins explicite et selon ses propres critères d’appréhension de la réalité universelle :
1-         Réformer la société par une adhésion progressive et définitive aux valeurs humanistes
L’étude de ces ordres se fondait ( et se fonde toujours ) sur une application sociale et concrète d’une éthique profondément humaniste. Nous leur devons la divulgation des valeurs qui ont conduit la France’ vers sa révolution au XVIII siècle et dont les conséquences bénéfiques ont pris corps à partir de la fin du XIXe siècle. a ce travail ardu, nous devons l’amélioration très sensible des conditions de vie, s’étendant progressivement sur toute la planète .
2-         Réformer l’individu par une application pratique des lois universelles
Ces ordres orientent essentiellement leur étude vers la compréhension de l’univers et  de ses lois ; ils tendent, non pas à réformer directement la société mais à former leurs adhérents ^pour que ceux-ci transcendent leur nature humaine. Au cours du temps, certains d’entre eux, par des voies diverses, se sont adonnés encore plus à l’application des lois cosmiques, pratiquant ainsi l’alchimie et la théurgie.
Quelle que soit l’orientation particulière à chacun des ordres traditionnels ou mouvements philosophiques , l’initiation qu’ils dispensent n’est que la reconstitution symbolique de véritables initiations – ou étapes accomplies sur le chemin spirituel – que les individus prennent , en l’état actuel de l’évolution  de la planète sur des plans subtils et donc de façon tout à fait invisible .ceci signifie que le cérémonial actuellement en vigueur dans les ordres pourra –selon le caractère propre à l’ordre –déclencher l’action de certaines forces sur la structure  élémentale du candidat ,sans pour autant provoquer la transmutation de l’être ,telle que l’exige l’initiation prise sur les plans subtils et conférée par un groupe qui n’a plus rien d’humain (au sens limitatif de ce terme ). Or, cette inéluctable transmutation de l’être ne s’acquiert par en un jour ni en une vie…
B-        Le retrait éventuel de l’influx initialement projeté par la fraternité de lumière dans un ordre initiatique
Il arrive que l’influx initialement projeté par la fraternité de lumière dans un ordre initiatique ou dans un mouvement philosophique soit retiré et que les adeptes invisibles (incarnés ou non), qui les ont eus respectivement en charge, prennent leur distance, attendant que de nouvelles conditions, plus propices à un travail lumineux s’instaurent.
   1-Cause de ce retrait
a)Présence à un degré élevé de la hiérarchie d’un individu canalisant les forces de destruction : ce retrait résulte de la présence soudaine, à un degré élevé de la hiérarchie de cet ordre ou de ce mouvement, d’un individu qui est un canal de l’aspect sombre de la nature, ouvrant  ainsi pour le profit du groupe noir …
Cet individu , par sa position hiérarchique au sein de cet ordre ou de ce mouvement , a le pouvoir d’altérer progressivement soit les statuts et surtout les rituels , non pas de manière flagrante mais de façon extrêmement subtile , quasi imperceptible à celui qui ne connait pas bien le fonctionnement , dans la pratique , des lois cosmiques . Ainsi, un petit signe, une petite’ phrase seront introduits ou changés, afin de permettre au groupe noir d’exercer enfin  sa mainmise sur un réservoir d’énergie si alléchant qu’est un ordre initiatique traditionnel.
La plupart du temps, cette exaction est perpétrée de façon tout à fait consciente, ce dirigeant criminel étant bel et bien un « envoyé » du groupe noir. Mais il arrive, que l’individu, introduit à un haut niveau  de décision  au sein d’un mouvement  philosophique, ne soit pas conscient d’être le canal de forces sombres ; les failles de sa nature, - fanatisme, gout du pouvoir, etc…. – alliées toutefois à des qualités certaines, sont les seules responsables de l’emprise du groupe noir sur le mouvement en question.
Dans ces deux cas, l’influx divin est retiré, les adeptes concernés attendant l’émergence de conditions meilleures, dépendant généralement de cycles, pour revivifier à nouveau l’ordre ou le mouvement mis occultement « en sommeil ».
b) Retrait de l’égrégore selon la loi des cycles : cette dernière régit l’instauration d’un égrégore  initiatique ou son retrait. Sa mise en œuvre relève de l ‘action des adeptes.
2-Prise de conscience d’un retrait « anormal » c’est-à-dire non prévu par la loi des cycles
A moins d’être un occultiste exercé , l’adhérent à ces organisations ainsi perturbées ne peut pas, la plupart du temps ,se rendre compte du changement subtil frappant son égrégore et cette perception lui est rendue d’autant plus difficile que les enseignements et la quasi-totalité des techniques divulguées sont bien issus de la tradition hermétique véritable.
Les effets, sur les membres, de ce retrait dépendent du caractère particulier de l’individu-dirigeant qui a altéré ainsi l’égrégore :
a)         Si l’individu était véritablement et consciemment lié au groupe noir, les effets seront très subtilement des tracteurs ;
b)         Si l’individu était un simple canal de ce groupe, sans le savoir et en raison des seules failles de sa nature humaine (compensées par des qualités) , les effets seront ceux que l’on ressent dans une salle vide, une fois que le professeur est parti, et que la lumière s’est éteinte ; on garde serrés sur soi les livres prodiguant l’enseignement mais aucun souffle ne vient plus en animer la compréhension.
C-        L’appartenance, de nos jours, à un ordre initiatique
Une précision importante sur ce sujet s’avère utile, car les conditions sociales et culturelles, prévalant dans les siècles passés, ont fondamentalement changé aujourd’hui et ces mutations contribuent, à l’heure actuelle, à une divulgation beaucoup plus vaste de l’enseignement ésotérique, facilitant ainsi l’exhumation au grand jour de ce qui était autrefois « sous le boisseau » . Ce changement résulte de deux facteurs :
1-La fin de l’asservissement de la pensée et des croyances métaphysiques à l’église catholique et romaine
Les bûchers de l’inquisition se sont éteints et nul ne peut être aujourd’hui déféré à un tribunal ecclésiastique puis torturé et mis à mort en raison de ses idées et de sa foi personnelle. nous ne nous rendons plus compte ,à présent , que , -en nous souvenant de tacite «  l’on peut penser ce que l’on  veut et dire ce que l’on pense »  ,sans encourir le chevalet  du bourreau et les flammes finales … en deux siècles , et surtout en ces cinquante dernière années , nos mentalités et nos mœurs juridiques –même si elles restent imparfaites –ont modelé une société beaucoup plus libre ou toute recherche personnelle ,quelle qu’elle soit, de nature philosophique ou scientifique , n’exige plus , pour être préservée des poursuites et du supplice , la mise en place d’un « système protecteur ;fondé sur le secret» . ce système, dans l’Europe de ces neuf derniers siècles, trouvait donc dans ces dangers sa raison d’être : il fallait se réunir secrètement pour étudier les lois universelles et leur application (la kabbale, l’alchimie, la théurgie, le symbolisme, etc…) et ériger tout un code de reconnaissance et d’admission au sein de ces réunions. C’était là l’un des facteurs instaurant, dans le passé, les « ordres initiatiques traditionnels ».
2-L’instruction, ouverte aux deux sexes, rendue publique et obligatoire, depuis un siècle
En effet, l’occident a mis fin à l’analphabétisme et , mieux encore , a ouvert à toutes et à tous les portes  De l ‘enseignement , de ses écoles primaires jusqu’au sommet de ses universités.la formation de l’intellect, à laquelle tous peuvent accéder, la divulgation, via les médias, d’un discours scientifique sur les récentes découvertes médicales ou technologiques, les d ébats télévisés de nature politique ,littéraire ou philosophique, la diffusion de « l’écrit »,des  livres et revues ,sur une vaste échelle ...Voilà donc autant de bouleversements qui accélèrent l’évolution de l’homme  et qui permettent aussi aujourd’hui la dispensation de l’enseignement ésotérique au plus grand nombre .
Et de fait, celui qui sait lire et  écrire, pourra, seul, sans l’aide d’un groupe, ordre, mouvement etc. … apprendre, en lisant, les vérités éternelles. Et si la lecture d’ouvrages plus ardus devient nécessaire, il exercera, s’il le souhaite, ses facultés mentales à cette compréhension.
En conséquence, ces deux facteurs permettent au chercheur, d’acquérir dans la solitude de sa chambre, les fondements de la connaissance hermétique, sans une participation à un ordre initiatique quelconque.
Toutefois, il est vrai que les structures complexes de nos sociétés industrialisées disloquent les relations humaines et que le fait d’intégrer un mouvement philosophique peut offrir au chercheur un asile promoteur d’échanges et d’opportunités diverses. Certains de ces mouvements proposent même une base solide pour ses investigations et sa formation.
Mais si l’on veut véritablement changer sa vie et avancer sur le sentier spirituel , la pratique d’une ascèse et de techniques d’évolution, permettant de transmuter réellement sa structure éthérique , psychique et mentale ,ne se met en œuvre , AUJOURD’HUI COMME LE PASSE , que dans la solitude, que l’on appartienne à un mouvement philosophique ou non.
Et que l’on participe donc à des réunions exaltantes, à caractère confidentiel, que l’on y rencontre d’autres individu, aux qualités humaines certaines, ou que l’on occupe soi-même des fonctions hiérarchiques au sein de ces organisations, il faudra de toute façon revenir chez soi pour affronter «  le miroir de son amé », seul, sans la valorisation perturbatrice de sa personnalité. En conséquence, si le désir d’adhérer à un mouvement quelconque est humainement compréhensible, il n’en reste pas moins  que la pratique salutaire, quant à elle, ne s’effectue que dans la solitude.
Et seule cette ascèse solitaire, par la transmutation profonde qu’elle génère en chacun, conduit, paradoxalement, à la fin de la solitude … elle ouvre véritablement les portes d’une communion spirituelle avec ceux qui nous ont devancés sur le l’évolution ; et dès l’instant ou le contact a lieu, l’échange se poursuit et va croissant, laissant filtrer, à mesure qu’il s’opère, la lumière dans la nuit de l’inconscience humaine.


2-LA FRATERNITE DE LUMIERE
A-        Initiatrice suprême
Si l’appartenance à un groupe parait donc être indispensable pour bénéficier d’une initiation, le groupe qui confère « l’initiation » consacrant une véritable étape spirituelle franchie par le candidat, n’est pas nécessairement manifesté au plan humain.
On peut donc très bien avoir l’impression d’être seul, quasi-abandonné , d’œuvrer dans la plus profonde solitude et n’appartenir à aucun ordre  initiatique ou mouvement philosophique, alors qu’en réalité en se lie au groupe le plus sublime qui soit, existant sur un plan très subtil et qui, lorsque l’on est prêt, transmet l’énergie nécessaire à l’évolution de la conscience. Et cette transmission n’a, alors, rien de symbolique… les clés de tout ce processus sont révélés en rêves ou par intuition.
Le groupe suprême agissant sur notre planète et du quel dépendent tous les groupes humains, que ce soit les ordres initiatiques, les sectes (au bon sens du terme) ou toutes les religions actuelles ou passées, est « la fraternité de lumière transhimalayenne » appelée en occident, depuis quelques décennies, « la grande loge blanche ».
Ce groupe suprême n’est pas incarné. Ses membres peuvent l’être mais leur réunion ou leur rencontre ne se fait pas généralement par des moyens matériels, sur le plan humain. Ainsi, tous ceux qui seraient tentés de le chercher en un endroit quelconque de notre terre se verraient-ils voués presque toujours à un échec.
Si certains de ces grands êtres, composant ce groupe, s’incarnent et vivent donc bien »quelque part » sur terre, leur proche est impossible lorsqu’eux-mêmes n’ont pas décidé ce contact ; leur décision n’est nullement arbitraire, elle est déterminée par le karma de l’individu.
Cependant, sans que soit nécessaire une rencontre sur le plan matériel, quels que soient l’Age, le sexe, l’appartenance ethnique ou religieuse, le niveau social ,etc…D’un individu quiconque cherche avec ardeur et sincérité à transformer sa nature, à s’harmoniser avec les lois cosmiques et à connaitre la divinité pour devenir un avec elle… qu’il travaille seul ou dans un groupe humain, qu’il vive aux confins d’un désert ou dans une ville immense, polluée par les bruits et les vibrations négatives ;… celui-là sera connu d’un ou plusieurs membres de cette auguste fraternité ; il sera guidé, même s’il n’en a pas conscience pendant un long temps, et entrera finalement en contact avec elle sur les plans intérieurs de l’être, le psychisme clarifié, le mental apaisé et l’intuition éveillée. Cela est aussi certain et réel que la lumière du soleil illumine notre monde, que les fleurs croissent et que la conscience est le moteur de toute vie.
B-« Gurus » et Maitres véritables
Cela ne signifie pas, néanmoins, que de vrais Gurus, lié à la fraternité de lumière, ne vivent pas sur terre.
De vrais Gurus existent. Que ceux-ci soient des orientaux ou des occidentaux, mais leur approche est difficile car souvent ils ne montrent en rien qu’ils le sont et refusent, à proprement parler, ce rôle. Lorsqu’ils acceptent de prendre des disciples, rien, si ce n’est au début la perception intérieure de l’élève, ne montera ce qu’ils sont car :
-ils accomplissent souvent leur mission d’enseignement de façon voilée, sans se proclamer «  maitre » ou « Guru », évitant ainsi une adulation néfaste pour leurs élèves ;
-ils peuvent ou non exercer une activité professionnelle quelconque, la quelle aura ou non quelque parenté avec sa mission  de dispensateur de lumière ;
-ils peuvent ou non avoir un »ashram » ou centre d’accueil de leurs élèves ; l’essentiel résidant dans l’enseignement dispensé et dans l’aide individuelle apportée ;
Ils taisent généralement leurs propres expériences mystiques par pudeur et parce qu’au fond, cela ne sert personne ; lorsqu’ils en parlent, ce n’est qu’a petites touches et pour encourager le chercheur sincère.
La question est alors :
« Qu’est-ce qu’un Guru »
« Qu’est-ce qu’un maitre sur ce sentier si difficile ? »

V-HOMMAGE A LA GRANDE LOGE BLANCHE
La réponse est très simple : chacun est un maître par rapport  à un autre que soi-même, mais, de façon plus explicite, un maitre est –pour une vision toute humaine –un disciple, enseignant et faisant œuvre de lumière sous la conduite d’un « plus grand » que lui-même. Ce « plus grand » est, en réalité, un être d’une très grande évolution ; par sa structure interne, il fait partie, non plus du règne humain, mais du Règne divin.
Disciple (guru pour les hommes) et maitre (tel qu’il vient d’entrer décrit) font tous deux partie, à un degré très distant de la hiérarchie, de la grande loge blanche. Ce qui les distingue est une différence d’évolution : le disciple est encore un humain alors qu’un maitre, ainsi que l’on vient de le préciser, ne l’est plus ; il est « divin ».
Aussi, il est-il convenu d’appeler « maître» celui qui ne fait plus partie du règne humain et qui occupe une place élevée dans la hiérarchie de la grande loge blanche.
Lorsque donc un maître, ainsi défini, décide de prendre un corps physique pour accomplir une mission de lumière, sa vie apparente est généralement d’une mission de lumière, sa vie apparente est généralement d’une décevante banalité ! à quelques exceptions près, quand leur mission exigeait qu’ils fussent connus (jésus, appolonius de tyane, etc...) les maitres vivent une existence cachée aux yeux des hommes.
-Comment les reconnaitre ?
-A leurs pieds de diamants…

« quelles que fussent mes formes et quelle que soit celle que je revêts à présent , quels que fussent les noms que le jeu des existences m’attribua et quel que soit celui que je porte aujourd’hui , quelles que fussent mes erreurs et quelle que fut ma souffrance , J’ai traversé les espaces et accompli le temps car…
« Je suis l’esprit immortel,
« Je suis la flamme qui brûle éternellement,
« Je suis le souffle qui ne cessera jamais,
« je suis la lumière qui illumine depuis le commencement,

« Saint, saint, saint est mon Nom.»



Bibliographie ; Lumière sur le Royaume
L’ORGANISATION «  NOIRE » DE NOTRE PLANETRE
La loge noire planétaire
Poser ces questions revient également à poser celles qui suivent : est-ce sur un être ou des êtres de nature bénéfique, œuvrant avec le plan divin de vie et d’évolution de la conscience qu’est « branché » ce groupe ? Ou sont-ce des êtres travaillant consciemment avec le côté sombre de la nature ?
Une «  hiérarchie »s’établit, en fait, dans l’organisation «noire » de notre planète : le groupe noir initial et les sous- groupes qui en dépendent.

1-LE GROUPE NOIR PLANÉTAIRE

A-        Ses Buts

1-La Destruction de la Conscience humaine
Si la loi cosmique est l’évolution de la conscience, il est logique (et la triste expérience le prouve, hélas !) que ces êtres ouvrent pour la destruction. Il serait trop long, et ce n’est pas le propos de ce livre, d’expliquer pourquoi et comment ils en sont arrivés là, mais le fait est ; il faut  donc le savoir. il faut comprendre également qu’ils utilisent des hiérarchies d’êtres n’appartenant pas au plan humain , souvent désincarnés , pour effectuer leur horrible besogne de déstabilisation , de vampirismes et d’anéantissement final de la conscience.

2-Le vampirisme de l’énergie humaine par circuit horizontal.
Les membres de ce groupe sont totalement coupés de la source énergétique de l’univers (circuit de transmission verticale) et pour leur « survie », ils ont  dû, instaurer « un circuit de transmission horizontale » de l’énergie de vie – le seul auquel ils ont accès – en allant « voler » celle – ci aux êtres humains (qui , eux , même à un degré d’évolution très bas , proche  de l’animal, sont ouverts au circuit vertical ). C’est là le vampirisme, au sens propre du terme.
En effet , « survie » signifie pour eux retarder leur annihilation, c’est-à dire la destruction totale de leur être , car la loi divine a programmé pour chaque être , pour chacun de nous , l’acquisition de la conscience et donc la conquête de l’éternité … allant à l’encontre de cette loi , ceux qui font partie de ce groupe noir , depuis des temps très reculés, savent que l’annihilation , à terme , est la seule issue à la voie qu’ils ont empruntée .Ce qu’ils ont souhaité pour autrui s’applique donc, à long  et sus  terme, à eux-mêmes.

B-Ses procédés
Ce groupe noir de la planète œuvre depuis des milliers d’années en détournant à son profil la force de destruction. C’est le noyau sombre, le plus terrible qui ait jamais été et qui soit encore pour peu de temps. Il est responsable de la souffrance, c’est- à- dire des conditions horribles dans lesquelles se poursuit sur terre l’évolution humaine.
            1-Vue synthétique de ses procédés
Ceux qui le constituent sont en très petit nombre et la plupart du temps désincarnés mais leur puissance réside dans les faits qu’ils maitrisent parfaitement la manipulation des plans subtils dans lesquels les êtres humains vivent sans en avoir conscience. En termes techniques, ces êtres noirs manipulent nos vies en agissant sur les quatre derniers sous-plan (en comptant à partir du plus dense, « en bas ») du :
-plan éthérico-physique (en activant les « feux » des désirs de violence et de sexualité débridée) ;
-plan astral ou émotionnel (en activant le sadisme, la peur, la haine …) ;
-plan mental, champs des idées concrètes en (inspirant des théories fondamentalement erronées sur l’univers et les lois divines et sur l’évolution humaine : athéisme racisme, élitisme tortionnaire, culte de « l’inversion » affirmant que existe la densité et ses rites : les sacrifices sanglants … ».
2- Action détaillée de ce groupe
Voici comment ce groupe Noir a opéré et tente d’opère encore ; nous employons le temps « présent » mais ce processus se répète depuis des milliers d’années :
a)         Il stimule les instincts humains les plus bas et en active ensuite le désir d’assouvissement (parmi ces instincts, comptons la violence et le gout du sang ) en agissant occultement sur les sous-plan qui viennent d’être indiqués ;
b)         Il prolonge continuellement les conditions planétaires de souffrances (guerres, tortures, etc. …) en jouant sur la violence humaine et l’attrait du sang ainsi activés ;
c)         Il utilise la souffrance humaine (douleur , pauvreté , manque d’amour , maladies, etc. …) qui est la conséquence aussi bien de l’action de la « loi du karma » sur les hommes que du cycle infernal d’horreurs que lui-même inspire (lequel va déclencher ensuite karma ….) en insufflant aux êtres humains des sentiments de révolte et d’injustice an l’égard de la loi Une ;
d)         Il récupère le message initialement libérateur de quelque adepte venu en ce monde, message ultérieurement érigé en religion, pour le souiller très rapidement en y immisçant des idées, des mœurs et des pratiques , tendant toutes à enchaîner à nouveau les êtres humains à leur ignorance et donc à leur servitude ;   
e)         Ces conditions étant créées par lui, il propose aux hommes la solution « miracle » à ces malheurs : comment être heureux ici-bas, dans un monde de terreur et de pénibilité, hors de la portée «  d’un Dieu inexistant  », en d’autre termes « comment arracher à la nature » ce que la loi cosmique leur refuse provisoirement ; c’est là l’origine de tous les rites et cérémonies tendant à évoquer la force de destruction ; c’est à ce point que se créent des groupes humains, « sous-groupes» par rapport au groupe noir initial, qui vont tenter de conjurer le malheur ambiant en suivant les instructions ainsi inspirées ;
f)         Enfin, pour calmer les interrogations éventuelles et craintives de certains hommes , en  qui la conscience étouffée murmure encore … il modèle le mental humain en inspirant des théories fallacieuses sur l’univers, reniant la notion même  de lois et de karma , de bien et d’éternité possible hors de ce monde de matière dense ;
g)         Une fois ces sous-groupes instaurés, le groupe noir a à sa disposition plusieurs « égrégore  » …
h)         Ceux-ci – étant le produit de l’adhésion d’hommes malheureux , d’ignorants mais aussi de pervers , chez qui , toutefois , le circuit vertical fonctionne encore – vont fournir au groupe noir initial , extraite  de façon horizontale (par vampirisme , donc ) , l’énergie ,source de vie dont il s’est coupé .
i)         

2- LES SOUS-GROUPES « NOIRS »

Ils dépendent, en conséquence, de ce groupe Noir, mais sans avoir nécessairement conscience de cette soumission, de cette transmission de courant désastreuse. Leurs membres accomplissent ce que le groupe attend d’eux : la transmission de l’énergie humaine, que ce groupe extrait horizontalement, et la propagation de pratiques immondes ainsi  que de théories fallacieuses sur l’univers, diffusion qui fait perdurer ce cycle maudit ; en échange, ils obtiennent « facilement » - en se soustrayant provisoirement à ce que leur karma individuel avait programmé – par l’entremise des forces négatives , pouvoir et assouvissement de toutes leurs passions .
Ces « sous –groupes»  se divisent en plusieurs catégories, allant de la malignité la plus avérée a un caractère néfaste difficilement perceptible.

A-        Les « sous-groupes » œuvrant directement avec les forces de l’ombre

1-en affichant ce caractère « noir»
a)Leur dirigeants sont conscients du groupe Noir, la plupart de leurs membres aussi. Ils  n’ont  pas « pignon sur rue » ne font  aucune publicité pour faire connaitre leur existence et leur membres se recrutent par une très discrète cooptation. Ceux-ci sont généralement très puissants dans le monde des affaires et ce, à une échelle internationale. Cette catégorie est celle que décrit Franz Bardon dans « frabato, le Magicien ».
b) les sous-groupes œuvrant directement avec le groupe Noir sans que leur membres soient véritablement conscients d’être «manipulés ». Ils en  sont les victimes et croient réellement soit que  les forces sombres sont les seules existantes et ont l’unique pouvoir en ce  monde, soit que l’utilisation de l’aspect sombre  n’a rien de destructeur en soi. Ils travaillent au moyen de « pactes » et de rites « inversés» ; leurs membres en sont généralement de plus grandes victimes encore. Ils recrutent librement et font parler d’eux. leurs procédés ne se cachent donc pas sous le manteau de la tradition hermétique authentique mais ils affirment que leurs théories « inversées»  sont, en réalité, la tradition … les que ceux qui sont décrits dans la catégorie suivante .
2-En se courant du manteau de la tradition hermétique.
Ces sous-groupes cachent ce qu’ils sont en réalité. Ils adoptent le discours de la tradition Hermétique – donc un caractère essentiellement « blanc» -et rien, si ce n’est une observation aiguë, sur les plans occultes, de leur action véritable, ne peut laisser supporter devant  nécessairement attirer ceux qui s’intéressent aux sciences occultes. L’ensemble de leurs dirigeants peuvent ne pas être conscients que leur groupe n’est qu’un maillon de destruction, inspiré par le groupe noir, mais un parmi eux l’est nécessairement  pour avoir introduit, au sein de pratiques authentiques (récupérées), des éléments qui brancheront les membres sur « le noyau noir ». Enfin, ils font parler d’eux et recrutent à portes grandes ouvertes.
a)         Leurs procédés :
-concrets : ils ne facilitent généralement pas « le départ» de leurs membres. Diverses difficultés sont créées, en effet, envers ceux qui veulent les quitter : refus, lenteur de la réponse à une lettre de démission, etc….
- occultes : si leur membres souhaitent quitter ce sous –groupe, des pressions occultes sont exercées : (troubles psychiques important, présences menaçantes la nuit, etc…). ils arrivent à leur fin destructrice ( le branchement sur le groupe noir ) par l’ingérence, au sein d’enseignements issus de la tradition initiatique authentique (le paravent de ce groupe) , de « mots de pouvoir» , parfois d’une « gestuelle précise» , qu’il est demandé au membre de dire et de faire, tel jour et à telle heure, en lui expliquant que ce procédé aura tel effet bénéfique quant à sa quête . Or, ce « mot» et ce « geste» constituent la « clé du réservoir » de la force et alimentent le groupe noir. Ils détournent donc à cet effet une loi bien connue en magie qui est appelée « l’ankhour » et sur laquelle fonctionnent, en toute légitimité, les différents aspects de la tradition hermétique. L’adhérent, sincère mais inconscient de tout ce processus, croyant conforter ses efforts spirituels, fait ce qui lui est demandé et alors, lentement, il imprègne son être psychique et mental de « la fréquence  vibratoire pernicieuse.» 
b) les effets de ces procédés : cette fréquente vibratoire destructrice provoque, à terme, un état de délabrement global : déstabilisation totale ; tendance au suicide, hargne et violence accrue ; dilution des capacités de réflexion ; laxisme croissant à l’égard de tout, teinté de dépression profonde ; présences invisibles nocturnes plus ou moins ressenties et plus ou moins effrayantes qui tenteront d’ailleurs de se faire passer pour une « projection  du guru » -du maître - ; etc…
c) subterfuges utilisés pour expliquer ce délabrement :
les dirigeants de ces sous-groupes ne manquent de qualifier cette destruction lente mais certaine , opéré dans la structure de leur adhérents , « d’épreuves nécessaires sur le sentier », usurpant ainsi cette réalité si durement vécue sur le véritable  sentier de lumière… ils vont même jusqu’à retourner leur argument spécieux à l’encontre d’ordres initiatiques authentiques et de la pratique théurgique ( dans lesquelles sont aussi affrontées des épreuves voulues par la loi divine ) en arguant que ce vécu-là révèle « le caractère noir » de cet ordre et de la théurgie, en oubliant surtout de dire que jamais la pratique théurgique et l’enseignement véritable, dispensé par un ordre de lumière, ne conduisent ses membres à cet état d’anéantissement ! au contraire : la force et l’inspiration divines sont données lors de ces épreuves, qui ne durent qu’un temps- plus ou moins long- le candidat en sortant avec une conscience plus vaste, une lucidité et une force de caractère accrues.
d) Effet ressentis par ceux qui pratiquent la théurgie ou qui appartiennent aussi à un mouvement philosophique authentique ou à un ordre de lumière : différentes suggestions occultes leur sont données la nuit , et ayant pour origine le groupe  Noir initial ,sous forme de rêves, cauchemars , visions persistant à yeux ouvert ,présences ressenties dans la chambre- tendant à  leur faire cesser la théurgie et à résilier leur affiliation à cet ordre initiatique de lumière . souvent , l’image sainte d’un adepte  - quel que soit celui-ci dressée sur un autel individuel ou accrochée à un mur de l’appartement, est irradiée d’une vibration émise par les forces de l’ombre , pour que ces membres croient qu’en réalité  ce sont les adeptes qui font «  œuvre noire » … ce mélange d’affiliations perturbe fortement les chercheurs et ceux –ci pensent qu’ils affrontent leurs propres impuretés ( comme cela se fait sur le sentier de lumière) alors qu’ils ne font que subir l’influx méphitique du groupe noir agissant par le canal du sous-groupe auquel ils appartiennent. Le discernement, à ce stade, devient très ardu.


B-        Les groupes qui finissent par passer sous la coupe du groupe Noir

Dans  cette dernière catégorie, d’une moindre malignité, mais qui peut aller croissant jusqu’à devenir  réellement dangereuse,  s’inscrivent les groupes qui, à l’origine, ne sont pas issus de l’influence du groupe noir initial. Ils sont l’œuvre d’une ou plusieurs personnes de bonne volonté, souhaitant sincèrement dispenser l’enseignement authentique de la tradition. Ces fondateurs peuvent avoir reçu une formation dans un ordre authentique ou non, quoi qu’il en soit leur démarche est sincère.
            Mais à un moment donné – parce que certains membres portent en eux des failles psychiques et mentales facilitant cette intromission, et aussi parce que, en tant que groupe dispensant la lumière, l’ombre va de façon tenter d’agir…- arrivé au sein de ce groupe, le canal des forces émanant du groupe noir initial. Ce canal, un être humain, est peut-être conscient de sa « mission » destructrice ou,- et c’est généralement le cas- ne l’est pas ; sa nature peu claire le rend tel et permet à l’ombre de travailler par son intermédiaire ; il en est la victime parce que victime d’abord de ses propres failles…
Seule une observation occulte intense pourra détecter à partir  de quand cette ingérence noire s’est opéré et comment elle évolue : soit elle est rejetée par la clarté du groupe (le canal quitte le groupe), soit elle s’instaure définitivement. Dans ce cas, l’organisation, initialement bonne, devient, dans la réalité des forces impliquées,  un sous–groupe du groupe noir. 

3- LES PIÉGES GUETTANT LES CHERCHEURS DE LUMIÈRE

A-Pièges dus aux « bonnes apparences »
Que de catastrophes- et le terme n’est pas exagéré- sèment les annales de la quête de la lumière ! Les victimes sont nombreuses, en effet. Malgré la bonne volonté du chercheur, il est souvent conduit vers un ou des groupes qui, sous des apparences tout à fait  louables, accomplissent une œuvre noire.
Que de « Gurus » vêtus de la belle robe orange des moines de l’inde, perpétuent cette immonde entreprise de destruction de la conscience humaine alors que leurs paroles ont la saveur du miel et leur regard (pour qui ne sait vraiment pas lire dans les yeux) se pare d’une douceur illusoire ! Que de « maîtres »  en occident, avec pompe et théâtre, au vu et au su de tous, se glissent dans l’antre sacré d’ordres lumineux ou dans tel  mouvement philosophique pour en extirper l’essence au profit du groupe noir qu’ils servent consciemment ou non…
B-Pièges dus au manque de développement occulte des chercheurs
Il faut avouer que les occidentaux sont des proies idéales pour ce type de vautours parce qu’ils réunissent les critères nécessaires pour être phagocytés :
-Une ignorance du fonctionnement des groupes, bons ou mauvais, sur le plan occulte (invisible) ;
-Un manque de développement psychique : ils ne peuvent capter la réalité de la personne qu’ils ont devant eux et qui les enseigne. Est-il un vrai Guru ? Est –ce  «  un blanc » (pour reprendre le terme usité dans le jargon initiatique) ou traille-t-il pour les forces de l’ombre ?
-Une appréhension trop concrète des phénomènes : que l’intellect prime, ils se fient simplement aux propos ou aux écris de ce Guru ; que la structure matérielle soit bien établie (locaux , association légalement déclarée, budget confortable , structure d’accueil, etc… ) , l’apparence a force de vérité .
Ces lignes sont destinées à mettre en garde le chercheur afin qu’il exerce son discernement lorsqu’il contacte un groupe de travail, que l’expression de ce dernier soit orientale ou occidentale.

C-Caractère inéluctable de ces pièges
Il faut donc éviter de tomber dans ces pièges mais, paradoxalement, ceux-ci se présentent toujours sur le chemin de ceux qui empruntent  la voie de l’évolution spirituelle accélérée telle que l’offre l’hermétisme.
En effet, le cycle légitime de l’évolution prévoit la rencontre du chercheur avec l’aspect sombre de la nature, rencontre qui peut prendre des formes différentes selon les étudiants :
-           Avec un des sous-groupes qui viennent d’être décrits, excepté les deux premiers dont la note « noire » est par trop explicite et que le chercheur fuira instinctivement.
-           Avec une personne qui véhiculera, en en ayant conscience ou non, les résidus méphitiques et destructeurs de notre univers… ; cet être viendra tout simplement dans la vie du chercheur et sera suffisamment magnétique pour en bouleverser les repères ;
-           Avec les forces de l’ombre elles-mêmes, non concrétisées, mais qui insuffleront au chercheur mille et une tentations pour qu’il quitte le chemin de la lumière, le poussant  parfois au désespoir voire au suicide, et lui inspirant des idées trompeuses sur le sentier qu’il a pris ; les mêmes effets de détournements de l’aspect divin s’opéreront : des suggestions de rejet seront faites sur les adeptes et leur image éventuelle sera « contre-chargée »…. Pour générer la peur…
Ces  lignes seront peut-être difficiles à comprendre et susciteront une révolte en raison de l’épreuve à expérimenter ; mais il en est ainsi : on en peut avancer sur le chemin de la lumière sans apprendre à reconnaitre- et pour en maîtriser la force – la voie de la densité.
Mais que l’on se rassure ! Le passage éducatif du chercheur de lumière dans un groupe pernicieux, ou l’amitié provisoire avec un être négatif, ou, enfin, la présence des forces obscures de la tentation, ont toujours une fin.
Le chercheur comprend finalement que l’action de ces forces de « matérialité » sur son être , (via un groupe, une personne, ou directement de façon invisible ) lui aura permis de « brûler » l’aspect sombre en lui et de conquérir ses plus beaux étendards de victoire sur le sentier de l’évolution .
Il doit être plus clair, à présent , pour le lecteur, que tout progrès mental, toute éducation des « masses » , toute science et technologie nouvelles, tout système juridique clément et surtout cette notion lumineuse des « Droits de l’homme » , constituent un frein à l’action maudite de ce groupe parce qu’ils tendent tous à alléger les souffrances de l’humanité .

4- L’ORGANISATION NOIRE PLANETAIRE
Toutefois, ce que le groupe noir (et ses ramifications plus ou moins conscientes) hait le plus est la divulgation à un vaste public de la connaissance hermétique.  En effet , cette dernière révèle aux hommes une organisation de l’univers tout à fait autre que celle qu’il s’efforce d’inspirer :  à la vision d’une humanité désespérée et « oubliée » quelque part dans  un vaste cosmos, vide , et bâti de la seule matières dense, celle d’un univers plein de vie dont les lois sont le fondement même de toute espérance et de toute vie pour l’éternité …
Mais ce que ce groupe craint le plus,  et ce sur quoi il s’acharne depuis des millénaires, est l’application des lois universelles, car si la théorie, de la doctrine ésotérique le gêne , les étudiants en ignorent, pour la plupart , la pratique ; or, seule cette dernière permet non seulement d’appréhender concrètement l’existence de ce groupe mais aussi et surtout d’anéantir progressivement leurs effets abjects sur la structure éthérique, psychique et mentale de l’être humain .
Cette sainte application des lois est la théurgie ou magie, aux sens authentique de ce terme. Ceci explique pourquoi cette auguste science a tant été l’objet de discrédit et de mensonges… le groupe noir inspire des magiciens peu «évolués pour en faire des sorciers et une fois les agissements pervers de ceux-ci bien connus , le reste de l’humanité s’en détourne – à juste titre – mais en confondant ces pratiques avec la science d’origine , cette mère blessée qu’est la magie.
C’est pourquoi, les étudiants mêmes de l’occultisme sont, pour la plupart, victimes de cette idée pernicieuse, et rejettent, sans même vouloir comprendre, la magie … ils rejettent ce qui donnera corps et réalité à leur études, faisant de leur quête,  par la purification profonde opérée, un sentier brulant.
Qui saura alors la tristesse qu’éprouvent ceux qui doivent, au cours du temps, dispenser cette science ? L’humanité les craint et voile son regard devant eux (elle n’est qu’une adolescente… peut-on donc la blâmer ?) … leurs propres frères sur le chemin de la connaissance se détournent d’eux aussi… mais, en réalité, qui souffre le plus de tout cela ?
En conséquence , de même que la guérison d’une maladie implique la connaissance, de la part de la science médicale du moins, de son processus d’éclosion, de diffusion au sein de l’organisme et enfin , des modalités de son éviction , de même , il convient d’éclairer nos  contemporains , et surtout les étudiants de l’occultisme, sur l’origine de ce « mal » pervers qui ronge la terre depuis des millénaires afin de « guérir » celle-ci définitivement. Contre ce « mal »endémique, Des « Médecins Terrestre »œuvrent également  depuis des millénaires : LA FRATERNITE BLANCHE UNIVERSELLE ou encore LA LOGE BLANCHE. Nous allons aborder la fraternité blanche universelle dans un prochain chapitre et chacun pourra se faire une idée du groupe auquel il appartient. Soit on est de la loge noire ou on est de la loge blanche. Certes, il existe des  dirigeants de plusieurs groupes pseudo spirituels et qui sont bien membre de la loge noire mais ils trompent leur entourage et leurs disciple.


Bibliographie : LUMIERE SUR LE ROYAUME
LES EGREGORES
Avant d’expliquer ce qu’est un égrégore, nous allons définir ce que c’est une initiation car dès que vous êtes dans un groupe  initiatique, vous appartenez à son égrégore.
Il  convient de définir très brièvement l’Initiative  au sens véritable de ce terme et non selon une appréhension symbolique et de comprendre que si elle ne se produit que par l’action d’un groupe, celui-ci n’est pas nécessairement manifesté au plan humain, concret et de dense ainsi que le sont les organisations diverses : ordres initiatiques Traditionnels en occident, sectes  orientales (sans aucune connotation péjorative).
L’Initiation est l’apport d’un type d’énergie à un individu permettant à ce dernier d’accéder au plan particulier constitué par cette énergie et d’utiliser celle-ci à des fins précises, déterminées par la nature même de ce plan.
En d’autres termes, l’Initiative octroie un droit de passage, elle est un passeport sans lequel il est impossible de pénétrer un plan donne. De façon plus explicite, l’initiation branche littéralement et ce n’est pas une simple image celui qui en bénéficie  sur un courant nouveau et l’initié peut alors user de cette énergie. Le groupe agit en « branchant »  celui qui sollicite l’initiation.
Pourquoi un groupe ? Parce que  le phénomène de groupe est une des  fonctions de l’univers. Dans celui-ci, en effet, tout ce qui vit et a mouvement ne peut l’être qu’en relation avec d’autres parcelles de vie. Une seule et unique cellule ne vit qu’en liaison avec d’autres cellules et celles-ci constituent un organe. Un seul organe ne vit que parce qu’il est lie à d’autre organes (le foi est alimenté du sang lequel est lié au cœur et aux aliments, travaillés dans l’estomac …). Ces organes constituent à leur tour un être plus grand. Cet être plus grand (plante, animal ou homme) ne peut subsister que par l’existence d’autres être qui lui fournissent l’énergie de vie, que ce soit la nourriture bien matérielle ou une quantité d’énergies plus subtiles.    
Ainsi, à un niveau plus élève, une énergie est-elle véhiculée par un groupe qui  la diffuse et en constitue également le gardien. Ce groupe permet l’accès à ce réservoir de force lorsque l’individu lui-même est capable de canaliser cette énergie (sinon il subirait de grands préjudices ; fait –on passer un courant de 220 volts par un fils ne pouvant recevoir que 125 volts ?). Sont également révèles à l’individu les clés ou procédés divers donnant accès à ce réservoir.   Cette nécessité d’être « en phase » est illustrée par l’adage selon lequel « lorsque le disciple est prêt, le maitre apparait ».
Schématiquement :
-un individu (en raison de son évolution résultant elle-même de ses efforts au long de plusieurs vies pour accroitre sa conscience) est prêt à canaliser un certain type d’énergie de fréquence vibratoire plus élevée que celle qu’il a véhiculée jusqu’alors ;
-les forces cosmiques ou karma entrainent cet individu vers le groupe approprié qui le branchera sur cette énergie ;
-la qualité de ce groupe (la nature des êtres qui le composent) varie selon la fréquence vibratoire de l’énergie à transmettre ;
-ce groupe branche  l’individu sur l’énergie en question et lui apprend comment à son tour accéder à elle et l’utiliser.
Ce processus, très succinctement décrit, est l’initiation authentique. il suggère donc l’existence d’un « groupe », celui-ci impliquant la création d’un « égrégores ». Qu’est-ce qu’un égrégore ?  

LA NOTION  D’EGREGORE
1-Formation de tout Egrégore
Un groupe humain s’élabore à partir de l’énergie de ceux qui le composent : énergie mentale, psychique et parfois physique (travaux, permanences, conférences, effectués avec ou sans rémunération,              etc…) .ainsi se crée-t-il et de même il s’en nourrit
C’est la Loi.
La qualité vibratoire, en conséquence, de l’énergie cumulée de ce groupe dépend de la qualité de chaque individu : son degré d’évolution, ses idéaux, la nature de ses pensées et de ses émotions. Quel que soit ce groupe, (politique, à but philosophique ou humanitaire, basé sur des motifs d’ordre professionnel, etc…), il existe par  le simple fait que des hommes ayant des points communs l’ont créé.
L’énergie ainsi cumulée par un groupe est appelée « Egrégore ».
Celui qui appartient à un groupe (et il en est toujours ainsi, considérez, par exemple, la famille : elle constitue un groupe ayant une fréquence vibratoire donnée ; celle-ci procure soit une sensation de malaise soit de bien être …) fait donc partie d’un certain égrégore ; il alimente ce dernier sans s’en rendre compte, a l’évidence, mais il en tire soit un profit quelconque soit des nuisances ou bien les deux à la fois.
Du fait de cette appartenance à un groupe, un individu peut voir sa vie prendre un cours qu’elle n’aurait pas emprunté sans cette adhésion : soudain des ennuis viennent perturber le quotidien, ou alors, des malheurs frappent régulièrement, ou, au contraire, des bienfaits abondent, tout dépend donc de la qualité vibratoire de ce groupe.
2- L’égrégore d’un mouvement philosophique
Un groupe « simplement humain » (un syndicat, une association, une famille, etc.) ne tire, ainsi qu’il vient d’être précisé, son énergie que de ses membres. toutefois, lorsqu’un groupe se fonde sur des buts essentiellement liés à la connaissance ésotérique , que ce soit la méditation , diverses pratiques yoguiques ,ou bien la magie , etc. …s’ajoute alors à l’alimentation naturelle de ce groupe (l’énergie des membres ) une énergie supplémentaire, de nature particulière , agissant sur le psychisme et toutes les facultés de ses membres . On dit que ce groupe est «  branché ».
Mais sur quoi est-il branché ? Qui est derrière ce groupe ? La réside le danger des groupes s’adonnant à l’occultisme. Nous allons aborder le plus dangereux égrégore de la planète terre
« L’ORGANISATION «  NOIRE » DE NOTRE PLANETRE »

Bibliographie : LUMIERE SUR LE ROYAUME